Depuis les années 1990, la protection de l’environnement est devenue une préoccupation collective. L’énergie domestique alerte le monde en général et particulier, les pays en voie de développement. Presque la totalité de la population des Pays en voie de développement utilise le bois de chauffe et le charbon de bois dans la cuisson des aliments.
Plus de 90% de la Population des villes et des centres urbains utilisent le charbon et le bois de chauffe comme source d’énergie principale domestique surtout pour cuire les aliments.
Avec l’augmentation rapide de la population urbaine au Burundi en général due à la croissance démographique et à l’exode rural, l’utilisation du charbon de bois et du bois de chauffe pour la cuisson des aliments dans les ménages a augmenté de façon remarquable, engendrant ainsi un déboisement à grande échelle.
La consommation en énergie de chauffe ménagerie augmente en fonction croissante avec l’augmentation de la population ;
Des conséquences socio-économiques et environnementales seraient désastreuses au niveau du pays étant donné qu’en matière d’énergie, la demande dépasse déjà largement l’offre.
D’après une étude menée récemment en ville de Makamba:
En concluant, le présentateur a indiqué qu’en adoptant une approche intégrée qui combine la conservation des écosystems, le développement économique durable et l’adaptation aux changements climatiques, il est possible de renforcer la resilience des régions affectées par la désertification et la séchéresse, tout en améliorant les conditions de vie des populations locales.
La promotion des énergies renouvelables vertes (biofuel/biogas) pourrait ralentir l’allure de l’exploitation des forêts déjà déficitaires.